Titre
Cérémonie à la mémoire de cinq Espagnols fusillés par l'Armée Allemande le 13 février 1943 (suite au procès « des 42 »), La Chapelle-Basse-Mer, 17 février 1946.
Sujets (Mots-clés)
Quatrième République, Libération, Deuxième guerre mondiale, Loire-Atlantique, Chapelle-Basse-Mer (La), Résistance, FFI, Immigration, Espagne (1936-1939), Guerre, Franquisme (mouvement et pensée), Brigades internationales, PCF,
Description
Les cinq fusillés sont : Benedicto BLANCO DOBARRO, Basilio BLASCO MARTIN, Alfredo GOMEZ OLLERO, Ernesto PRIETTO HIDALGO, Miguel SANCHEZ TOLOSA.
- SC 5910 : la tête du cortège dans les rues de La Chapelle-Basse-Mer.
- SC 5911 : Le cortège, au 1er plan, (avec des lunettes) le docteur Martin SANZ, officier FFI et responsable du « Comité solidarité Espagne », et, devant le drapeau du PCF, chapeau clair à la main, Lucien JAGO, lieutenant dans les Brigades internationales. Devant Lucien JAGO, entre les deux drapeaux, chapeau noir à la main, René NICOLAS, cheminot, communiste, considéré par la police comme le n°2 du PCF régional. Il est interné dès le 26 décembre 1940 au Centre de séjour surveillé du Croizic, puis libéré le 16 avril 1941, avant d'être sans doute déporté (à vérifier). À noter, la présence du drapeau républicain Espagnol.
- SC 5912 : l'arrivée du cortège dans le cimetière. À noter, la présence du drapeau républicain Espagnol.
- SC 5910 : la tête du cortège dans les rues de La Chapelle-Basse-Mer.
- SC 5911 : Le cortège, au 1er plan, (avec des lunettes) le docteur Martin SANZ, officier FFI et responsable du « Comité solidarité Espagne », et, devant le drapeau du PCF, chapeau clair à la main, Lucien JAGO, lieutenant dans les Brigades internationales. Devant Lucien JAGO, entre les deux drapeaux, chapeau noir à la main, René NICOLAS, cheminot, communiste, considéré par la police comme le n°2 du PCF régional. Il est interné dès le 26 décembre 1940 au Centre de séjour surveillé du Croizic, puis libéré le 16 avril 1941, avant d'être sans doute déporté (à vérifier). À noter, la présence du drapeau républicain Espagnol.
- SC 5912 : l'arrivée du cortège dans le cimetière. À noter, la présence du drapeau républicain Espagnol.
Cote (Source)
Fernandez (SC 5910 à 5912).
Date
1946
Droits
Contacter le Centre d'histoire du travail
Format
Nombre de prises de vue : 3
Qualité : Bonne
Support : Reproductions numériques.
Domaine
E [Histoire du mouvement ouvrier local et régional]
Individus identifiés
BLANCO DOBARRO (Benedicto), BLASCO MARTIN (Basilio), GOMEZ OLLERO (Alfredo), Jago (Lucien), PRIETTO HIDALGO (Ernesto), SANCHEZ TOLOSA (Miguel), Sanz (Martin),
Renseignements divers
Numérisations : SC 5910, SC 5911, SC 5912.
Coll. Manuel SAGASTI, Orvault.
Manuel SAGASTI, dont les dates de naissance et de décès nous restent inconnues, était un marin espagnol, d’origine Basque. Suite au coup d’État de Franco, les 17 et 18 juillet 1936, il s’engage dans l’armée républicaine, jusqu’à la défaite, le 1er avril 1939. Il se réfugie en France, dans la région nantaise, où il exerce la profession de chauffeur de taxi, et continue à militer au Parti communiste Espagnol (PCE), y compris lorsque celui-ci est contraint à la clandestinité.
Les photographies de Manuel SAGASTI ont été mises à disposition du CHT par Carlos FERNANDEZ pour reproductions numériques.
Coll. Manuel SAGASTI, Orvault.
Manuel SAGASTI, dont les dates de naissance et de décès nous restent inconnues, était un marin espagnol, d’origine Basque. Suite au coup d’État de Franco, les 17 et 18 juillet 1936, il s’engage dans l’armée républicaine, jusqu’à la défaite, le 1er avril 1939. Il se réfugie en France, dans la région nantaise, où il exerce la profession de chauffeur de taxi, et continue à militer au Parti communiste Espagnol (PCE), y compris lorsque celui-ci est contraint à la clandestinité.
Les photographies de Manuel SAGASTI ont été mises à disposition du CHT par Carlos FERNANDEZ pour reproductions numériques.
Date (décennie)
1940
Relations entre contenus
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